User:Sbprm2020 2

Nous avons étudié plus en détail le papier de Audrey P. Gasch et al. intitulé « Single-cell RNA sequencing reveals intrinsic and extrinsic regulatory heterogeneity in yeast responding to stress ». Ce papier a déterminé le niveau d’expression de 6789 gènes de 163 levures. Parmi ces 163 cellules, 80 cellules ont été soumises à un stress tandis que les 83 restantes n’ont pas été soumises à un stress. A partir de ces niveaux d’expression, nous avons d’abord déterminé, que la variance d’expression des cellules stressées était plus grande, puisque la médiane de la différence de variance entre les cellules stressées et non-stressées était plus grande que 0, le tout avec une p-value d’un test de Wilcoxon étant égale à 7.8*10-14. Nous avons aussi déterminé que la meilleure mesure de stress était une Support Vector Machine (svm) d’une analyse en composante principal (PCA), en-effet cette mesure de stress est plus représentative, que celle prise en compte dans l’article d’Audrey P. Gasch et al., ayant seulement pris en compte l’expression des gènes iESR (279 gènes), puisque avec notre mesure de stress, la séparation entre les cellules stressées et non-stressées était plus nette (aucune cellule stressée dans le groupe des cellules non-stressées et vice-versa) et la distribution entre les cellules stressées et non-stressées était similaire.