cité – Dorigny 40 http://wp.unil.ch/dorigny40 40 ans de campus UNIL Tue, 28 Nov 2017 08:39:15 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.9 L’UNIL en ville http://wp.unil.ch/dorigny40/lunil-en-ville/ http://wp.unil.ch/dorigny40/lunil-en-ville/#respond Thu, 05 Aug 2010 14:01:13 +0000 http://wp.unil.ch/dorigny40/?p=149 3/12

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La Cité accueillait l’Alma Mater lausannoise depuis ses premiers jours. Le développement de l’institution, notamment l’accroissement des effectifs estudiantins, provoque dès 1970 le déplacement du site vers le domaine de Dorigny. Bien que cette étape soit décisive pour l’extension de l’Université, la ville de Lausanne a joué son rôle et permis une évolution harmonieuse de l’UNIL.

Au XIXe siècle, la Cité et ses alentours se trouvent progressivement occupés par différents instituts et écoles universitaires. Comme le montre un plan du site universitaire publié en 1970, la surface investie est large et les bâtiments nombreux.

Cliquez sur l'image pour accéder au plan (pdf)

De l’Ancienne Académie, bâtiment emblématique, au moins connu bâtiment de la Rue de la Tour 8, qui accueillait les premiers cours de l’Ecole polytechnique de l’Université de Lausanne, certains de ces édifices méritent le détour.

Les bâtiments universitaires de la Cité

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Légende

1. Ancienne Académie
2. Hôpital cantonal
3. Ecole de médecine
4. Ecole de chimie et de physique
5. Palais de Rumine
6. Ecole polytechnique de l’Université de Lausanne


Déménager ? Un déchirement

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Difficile de déménager de la ville du bord de lac…
Durée : 4,5 min.

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L’ancienne Académie http://wp.unil.ch/dorigny40/lancienne-academie/ http://wp.unil.ch/dorigny40/lancienne-academie/#respond Tue, 03 Aug 2010 17:11:49 +0000 http://wp.unil.ch/dorigny40/?p=1234 [See image gallery at wp.unil.ch]

Considéré comme l’un des plus vastes chantiers du XVIe siècle au Pays de Vaud, le bâtiment de l’ancienne Académie est un rare exemple de complexe scolaire protestant européen de cette époque, destiné à une Académie.

Inauguré en 1587, ce bâtiment ne put, faute de place, accueillir les leçons de philosophie et de théologie qui se donnèrent encore pendant plusieurs années à la Cathédrale. Ce n’est qu’en 1628 pour la théologie et en 1657 pour la philosophie que l’on construisit des auditoires dans le prolongement du bâtiment central.

Par la suite, l’ancienne Académie sera développée à plusieurs reprises (1869, 1873, 1881), afin d’accueillir un nombre croissant d’étudiants. Pourtant, à la fin du XIXe siècle, le manque de place se fait cruellement ressentir et la construction d’un nouvel édifice est absolument nécessaire; ce sera le Palais de Rumine.

Affectation
Ancienne Académie (rue Cité-Devant 1-3) en 1970

→ Faculté de droit: Doyen – Secrétariat
→ Faculté de théologie: Doyen – Secrétariat – Bibliothèque
– Institut des sciences bibliques
→ Faculté des lettres: Doyen – Secrétariat – Bibliothèque
– Salle des Professeurs – Institut de géographie
→ Ecole de français moderne: Directeur – Secrétariat
– Cours de vacances.

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L’ancien Hôpital cantonal http://wp.unil.ch/dorigny40/lancien-hopital-cantonal/ http://wp.unil.ch/dorigny40/lancien-hopital-cantonal/#respond Tue, 03 Aug 2010 16:38:04 +0000 http://wp.unil.ch/dorigny40/?p=1251 See image gallery at wp.unil.ch]

Egalement tributaire de la création de la Faculté de médecine, l’Hôpital cantonal de la rue du Bugnon, construit en 1883, devient universitaire, en 1890. Pour affirmer cette nouvelle attribution, un auditoire y est aménagé pour les étudiants qui sont admis au chevet des malades.

Avant cela, il se composait de l’ancien bâtiment principal, du bâtiment dit « le Château », ainsi que de quatre pavillons démolis depuis. Il comptait environ 500 lits et les soins étaient prodigués par des diaconesses de Saint-Loup. En 1916, on y adjoint la Maternité et la clinique infantile. Par la suite d’autres agrandissements marquent l’évolution de cet hôpital: ajout entre autres de l’Hôpital Sandoz en 1932, du Pavillon Bourget en 1933, de l’Hôpital Nestlé en 1935, de l’Institut d’anatomie pathologique en 1942 ou encore du pavillon chirurgical en 1947.

Malgré ces nombreuses extensions, le manque de place se fait, ici, également sentir, c’est pourquoi, alors que l’UNIL destine le reste de ses facultés à Dorigny, un plan de développement est mis en œuvre sur le site du Bugnon. Les travaux débutés en 1971 voient naître le Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV) inauguré en 1982.

L’ancien Hôpital cantonal héberge, de nos jours, les bureaux de la Faculté de biologie et de médecine, l’informatique médicale et le Service de néphrologie.

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L’ancienne Ecole de médecine http://wp.unil.ch/dorigny40/lancienne-ecole-de-medecine/ http://wp.unil.ch/dorigny40/lancienne-ecole-de-medecine/#respond Tue, 03 Aug 2010 15:58:34 +0000 http://wp.unil.ch/dorigny40/?p=1298 [See image gallery at wp.unil.ch]

Lorsqu’en 1879, la Confédération présente un règlement sur la profession médicale, l’Académie de Lausanne se doit de modifier sa structure pour rester au niveau des autres hautes écoles suisses. Le bâtiment de l’ancienne douane de Martheray, situé en dessous de la place de l’Ours, (construit en 1848-1849) est transformé en 1887 pour divers enseignements relevant dans un premier temps de la Section propédeutique des sciences médicales, puis de la Faculté des sciences et de celle de médecine, faculté à part entière depuis la transformation de l’Académie en Université (1890).

L’enseignement de l’anatomie, de l’histologie et de la physiologie y trouve place jusqu’en 1959. Par la suite, l’ancienne Ecole de médecine sera transformée en bibliothèque publique.

Affectation
Ancienne Ecole de médecine (rue César-Roux 34) en 1970

→ Doyen – Secrétariat – locaux
→ Institut d’anatomie normale
→ Institut d’histologie et d’embryologie
→ Institut de physiologie

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L’ancienne Ecole de chimie et de physique http://wp.unil.ch/dorigny40/lancienne-ecole-de-chimie-et-de-physique/ http://wp.unil.ch/dorigny40/lancienne-ecole-de-chimie-et-de-physique/#respond Tue, 03 Aug 2010 15:10:31 +0000 http://wp.unil.ch/dorigny40/?p=1309 [See image gallery at wp.unil.ch]

Premier bâtiment important construit depuis l’ancienne Académie, l’ancienne Ecole de chimie et de physique est inaugurée en 1893. Les étapes initiales de ce projet débutent dès 1881 avec les plans de l’architecte cantonal François Südheimer. Comme celui-ci décède six ans plus tard, Louis Bezencenet et Alexandre Girardet, lauréats du concours d’architecture lancé en 1888, poursuivent le mandat.

La construction de l’Ecole implique plusieurs aménagements comme par exemple la démolition de la caserne des milices et de la porte Saint-Maire cependant les travaux vont bon train et se terminent malgré les dépenses excessives. Lors d’une séance du Grand Conseil de 1894, M. Landry remarque que:

La Commission a visité ce superbe palais, comparable aux plus beaux de ce genre en Europe […] En parcourant ces installations luxueuses, elle a eu le sentiment qu’on avait fait trop grand. Ce doit être un garde-à-vous (sic) pour le jour où on commencera à édifier les bâtiments universitaires […] En tout cas, voilà un exemple à ne pas suivre. Maintenant les dépenses sont faites, il faut les payer. [1]

En 1893, le bâtiment est occupé par les laboratoires de physique, de chimie, de microscopie botanique, de chimie agricole, de bactériologie et de botanique systémique ainsi que par un atelier de photographie scientifique. En 1909, l’Ecole accueille à sa création par Rodolphe A. Reiss, le premier institut de police scientifique au monde.

Les premiers départs pour Dorigny sont ceux des physiciens en 1975, suivies par les pharmaciens. Le bâtiment est totalement libéré par l’UNIL en 1994 lorsque les activités des chimistes sont également transférées à Dorigny dans l’actuel Batochime.

Affectation
Ecole de chimie et de physique (place du Château 3) en 1970

→ Chimie minérale et analytique
→ Chimie organique
→ Physique du solide
→ Institut de physique expérimentale
→ Direction et secrétariat de l’Ecole de pharmacie
→ Laboratoires d’analyses pharmaceutiques
→ Laboratoires de chimie pharmaceutique
→ Institut de police scientifique

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[1] SCHMUTZ NICOD, Catherine, « Histoire et architecture de l’ancienne Ecole de chimie et de physique, place du Château », in Mémoire vive, n°10, 2001, pp. 24-31.

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L’Ecole polytechnique de l’Université de Lausanne http://wp.unil.ch/dorigny40/epul/ http://wp.unil.ch/dorigny40/epul/#respond Tue, 03 Aug 2010 09:53:38 +0000 http://wp.unil.ch/dorigny40/?p=1522 [See image gallery at wp.unil.ch]

Le premier bâtiment de l’Ecole spéciale est édifié entre 1857 et 1858 à la rue de la Tour 8 sur les plans de l’architecte Louis Joël. Construit par une société immobilière qui désire soutenir la jeune Ecole créée trois ans plus tôt, il marque le premier lieu de ce qui deviendra l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL).

Cette nouvelle école, attachée à l’Académie dès 1869 sous le nom de Faculté technique, ne cessera de se développer en particulier au moment de l’institution de l’Université.  Dès lors, la Faculté technique devient une Ecole d’ingénieurs rattachée aux sciences. En 1903, l’Ecole polytechnique de l’Université de Lausanne (EPUL) compte 24 professeurs et 134 étudiants, cinquante ans plus tard, 32 professeurs, 24 chargés de cours, 1 privat-docent, 4 chefs de travaux et 18 assistants composent le corps enseignant pour 469 étudiants. Comme pour les autres sections de l’UNIL, la croissance du nombre d’étudiants appelle à l’extension des locaux et à une dispersion des lieux d’études; entre 1970 et 1976 les instituts et laboratoires de l’EPFL se trouvent sur plus de trente sites différents.

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La genèse du Palais de Rumine http://wp.unil.ch/dorigny40/la-genese-du-palais-de-rumine/ http://wp.unil.ch/dorigny40/la-genese-du-palais-de-rumine/#respond Mon, 02 Aug 2010 14:14:31 +0000 http://wp.unil.ch/dorigny40/?p=1351 See image gallery at wp.unil.ch]

Le legs de Gabriel de Rumine, en 1871, à la ville de Lausanne, destiné à la construction d’un édifice d’utilité publique, donnera jour, au début du XXe siècle, à un monument que tout lausannois connaît, le Palais de Rumine. Fils du prince russe Basile de Rumine et de Catherine Chakhovskaïa, exilés en Suisse en 1839, il naît et grandit à Lausanne, entre à l’Académie, puis à l’Ecole spéciale où il obtient un diplôme d’ingénieur constructeur. Attaché à cette ville d’adoption, il lui laisse, à sa mort, 1 500 000 francs à condition de:

[…] placer (cette somme) dans de bonnes conditions pour qu’elle, étant doublée, soit employée à la construction d’un édifice qui sera jugé, quinze ans après sa mort, d’utilité publique par une commission de dix membres, choisis de moitié parmi les magistrats de la ville, de moitié parmi les professeurs de l’Académie. [1]

En 1886, le Conseil communal constitue, selon la volonté du donateur, la Commission de dix membres (la Commission de Rumine) qui devra « décider souverainement et définitivement sur la destination à donner à l’édifice d’utilité publique qui doit être construit au moyen du legs » [2].

Deux lieux en particulier sont désignés pour la construction des nouveaux bâtiments universitaires:

[…] les bâtiments académiques ou universitaires ne peuvent s’édifier qu’à l’emplacement proposé (la Riponne) ou au midi de la ville. On ne proposera ni la Pontaise, ni Beaulieu.

Le site de la Cité avait petit à petit perdu de son prestige avec le déplacement de l’élite intellectuelle vers les quartiers bourgeois. Mais ce lieu recelant une grande symbolique pour l’institution lausannoise, ainsi que le relève un procès-verbal de la Commission: « Nous ne pouvons pas nous éloigner de la Cité; il faut au moins qu’un bâtiment y rappelle les anciens souvenirs de nos pères […] », il fallait lui redonner vie. La zone au midi de la ville, elle, comprenait déjà la gare pour animer le quartier. La Riponne fut donc naturellement choisie comme futur site du Palais de Rumine. [3]

Le choix de cet emplacement souleva de nombreuses oppositions malgré l’aval de la ville. Lors d’une séance du Conseil communal en juillet 1888 d’autres emplacements possibles sont encore envisagés: Mon-Repos, la propriété Matthey à Montbenon, Champ-de-l’Air ou le plateau central de la Cité-dessus. Mais ces sites étaient soit trop chers, soit trop éloignés ou encore d’une surface trop restreinte. On peut aussi citer d’autres emplacements qui auraient convenu quant à la surface disponible comme Beaulieu, en Chissiez ou le boulevard de Grancy, mais ils étaient jugés trop excentrés.

Le concours des plans de l’édifice de Rumine sur la place de la Riponne, lancé en 1889, voit naître 36 projets. Six sont retenus et primés: Les projets Taureau Farnèse, Hic, Nous, A toi beau pays de Vaud, Léman et A 298. [4]

Aucun d’entre eux n’obtient l’adhésion complète du jury et de ce fait le 1er prix n’est pas attribué. Quoi qu’il en soit, les travaux sont confiés à l’architecte Dominique Demierre, lauréat du 3ème prix pour son projet Hic. Dans le même temps, une commande pour une nouvelle étude est passée à André Gaspard qui a remporté le 2ème prix. Ce dernier refuse le mandat, ne voulant pas adapter son projet. Suite à la disqualification de Demierre, qui travaillait dans le même bureau qu’un membre du jury, Henri-Paul Nénot, Gaspard accepte la tâche et devient officiellement l’architecte en titre.

Bien que le lieu et l’architecte soient désignés, il faut attendre 1889 pour que le chantier débute. Les polémiques font rage; le choix des occupants semble trop vaste, l’emplacement est toujours discuté et des changements politiques au Conseil communal modifient les priorités. Le décès, en 1896, de l’architecte qui laisse des plans inachevés, met fin à cette longue épopée.

Finalement, les travaux sont confiés à quatre architectes, Louis Bezencenet, Louis Girardet, Francis Isoz et Charles Melly – les deux premiers étant également les architectes de l’Ecole de chimie.

Après huit ans de travaux et un budget largement dépassé (évalué à 4’400’000 francs), le Palais est inauguré le 3 novembre 1906.

Relevons tout de même qu’entre 1896 et 1906, le nombre d’étudiants a doublé, passant de 600 à 1200, suscitant, dès les premiers jours, une polémique sur le manque de place.

A consulter également: UniLausanne 3 (1972) Le Palais de Rumine (pdf)

Constance Lambiel
Service des Archives, Université de Lausanne

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[1] Testament de Gabriel de Rumine, cité in GUBLER, 1967, p. 206.
[2] Edifice de Rumine, Rapport de la Municipalité de Lausanne au conseil communal en réponse à l’interpellation de M.L. Rambert du 19 mai 1890, Lausanne: Imprimerie Georges Bridel & Cie, 1890, 14 pages.
[3] P.V. 1887, p. 103-105, in Avant-projet de l’édifice de rumine. Rapports de majorité et de minorité de la commission du Conseil communal de Lausanne, Lausanne: Imprimerie Adrien Borgeaud, 1893, 27 pages.
[4] Le Fonds de Rumine et l’Université. Examen du projet municipal et propositions nouvelles par le Dr E. Bugnion et le Br E. De Cérenville, Lausanne: Imprimerie Georges Bridel & Cie, 1890, 47 pages.

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Le Palais de Rumine http://wp.unil.ch/dorigny40/le-palais-de-rumine/ http://wp.unil.ch/dorigny40/le-palais-de-rumine/#comments Mon, 02 Aug 2010 14:01:56 +0000 http://wp.unil.ch/dorigny40/?p=151 [See image gallery at wp.unil.ch]

Gabriel de Rumine (1841-1871), ancien étudiant de la Faculté technique, lègue à sa mort, à la Ville de Lausanne une somme considérable pour la construction d’un édifice d’utilité publique. Le canton décide d’attribuer cette somme à la construction d’un bâtiment universitaire qui accueillera des auditoires, les collections scientifiques, les musées d’art, d’histoire et de sciences naturelles ainsi que la bibliothèque.

C’est un projet de grande envergure pour l’époque. Cette réalisation de prestige permettra à l’Académie de faire le pas et de devenir une Université. Comme le relève le Bulletin du Conseil communal de juillet [1]:

[…] une Académie est destinée uniquement à l’instruction, une Université doit être un centre de développement et de production scientifique. Il faut que l’Université de Lausanne acquière un nom.

A peine inauguré, en 1906, le Palais de Rumine est spatialement insuffisant et la seule solution, en l’absence de nouveaux édifices, est la dispersion progressive des locaux et laboratoires universitaires dans divers immeubles de la ville, au gré des besoins et des disponibilités.

Affectation
Palais de Rumine (place de la Riponne 6) en 1970

→ Administration universitaire
→ Bibliothèque cantonale et universitaire
→ Musée des beaux-arts
→ Musée historique
→ Musée de zoologie
→ Institut de géologie et paléontologie
→ Laboratoire de minéralogie, biologie et physiologie végétale
→ Laboratoires de zoologie et de biologie animale
→ Séminaire d’histoire de l’art
→ Centre de recherche sur les lettres romandes

A consulter également: La genèse du Palais de Rumine

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[1] M. de Cérenville, B.C.C. 16 juillet 1888, p. 247.

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