Dans sa série intitulée Image Capital, Estelle Blaschke « seeks to sketch out the idea of photography as capital, ranging from metaphors of photography as currency and the broad spectrum of logistics and infrastructure to the attribution of social, epistemic or monetary value to photographs ». Dans le premier article, « In abundance », l’historienne revient sur un trait commun aux trois décennies de la photographie digitale: « the relentless accumulation of photographs ». Le deuxième texte, « Customer Data, Plans, Bonds, Checks, Books, Journals… », s’intéresse à l’histoire du microfilm en tant que technique d’archivage et de support des images à partir des années 1920 dans le cadre de la bureaucratisation croissante de la société et de son besoin corollaire à stocker et gérer les flux d’information. La troisième et dernière contribution s’intéresse au « Business of Data Protection ». L’historienne explique ici que « when microfilm took on a more passive role as a storage medium, the rhetoric adopted by the photography and IT industries pivoted towards data protection rather than data circulation. Photography was increasingly propagated as a means of protecting sensitive data, such as in the form of the COM system (Computer Output Microfilm). »
Bonne lecture !
]]>Parmi les différentes initiatives, il y a la visite audiovisuelle de Berne organisée par Memoriav, le Musée d’histoire de Lucerne qui ouvre son exposition autour du suffrage féminin « Eine Stimme haben. 50 Jahre Frauenstimmrecht Luzern », les archivistes de la Médiathèque Valais – Martigny qui présentent leur métier et quelques perles des collections patrimoniales, la projection du film « Au village du chocolat » au Musée d’art et d’histoire de Neuchâtel dans le cadre de son exposition sur la Maison Suchard ou encore la mise en avant des activités de notre projet de recherche en regard des archives audiovisuelles. Mais ceci n’est qu’un aperçu du riche programme auquel participent bien d’autres institutions.
A noter finalement que le colloque annuel de Memoriav se tient ce 26 octobre, en ligne, autour de la question « Sammeln, aber wie? / Collecter. Mais comment s’y prendre? Audiovisuelle Sammlungsstrategien im Zeichen der digitalen Wende / Stratégie d’acquisition des documents audiovisuels dans un contexte numérique ». Il est ouvert à toute personne intéressée. Le programme complet de l’événement est consultable ici.
]]>Extrait de l’article des Inrocks:
« Les différents épisodes de la série, en effet, proposent un focus de 26 minutes sur une exposition, un artiste et son oeuvre dans un vrai souci de clarté et d’intelligibilité. Alternant interviews et captations d’exposition, l’oeuvre nous est montrée, décrite et explicitée, dans son processus de création mais aussi de monstration au sein de l’exposition – véritable enjeu de cet art éphémère. »
« Live Art, mémoires d’expositions », La Croix, 05 août 2018
« Live Art, collection documentaire sur les oeuvres d’art éphémères », LesInrocks, 26 juillet 2018
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Visiter la page dédiée au colloque sur le site de Memoriav.
Lire le programme complet.
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Présentation de l’exposition
Interview de Francesco Vezzoli
Article de la RTBF
]]>Extrait:
«C’est malheureux pour la Suisse romande!» réagit François Ganière, désormais ex-président de la Fondation du Musée suisse de l’audiovisuel. (…) «L’essentiel pour nous est d’avoir pu sauver les pièces les plus importantes, dont certaines étaient uniques au monde», poursuit François Ganière. Ce patrimoine n’aura néanmoins plus de musée exclusivement dédié.
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Un podcast de l’émission Matin Première de la RTBF.
Focus sur la Sonuma : 60 ans d’archivage de la télévision belge.
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