« Médias électroniques: un projet de loi qui oublie la presse écrite« , Le Temps du 21 juin.
« Loi sur les médias: une part de la redevance financera les offres à la demande sur Internet« , Le Nouvelliste du 21 juin.
« Le Conseil fédéral dessine les contours du futur paysage audiovisuel suisse« , RTS.ch
« Berne veut baliser l’avenir du paysage audiovisuel« , La Tribune de Genève du 21 juin.
« Leuthard mise tout sur la radio-TV et néglige la presse« , 24 Heures du 22 juin.
« La loi sur les médias électroniques, « un raisonnement de fonctionnaires »« , interview de Pierre Steulet, patron des radios de l’Arc jurassien dans La Matinale de La Première, RTS, 22 juin.
Ecouter l’entretien.
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« Das Unbehagen gegenüber dem grössten Medienunternehmen der Schweiz ist nicht neu. «DOK» blickt zurück in die Geschichte der Jahrzehnte andauernden Kritik gegen die SRG. Der Film zeigt, wie rechtsbürgerliche SRG-Kritiker in den vergangenen Jahren von libertären Meinungsmachern und ihren radikalen Ideen beeinflusst wurden. »
Sehen Sie hier die Dokumentation.
]]>Eine Nachlese in ausgewählten Medien der Deutschschweiz:
Die Neue Zürcher Zeitung anerkennt die hohe Absage an die Initiative, moniert allerdings, dass medienpolitische Reformen im audiovisuellen Sektor unerlässlich seien, sollte auch künftig gewährleistet sein, dass der schweizerische Medienplatz existieren kann. Obschon die medienpolitischen Akteure nach diesem Entscheid durchatmen können, würden sie sich nicht ausruhen dürfen, denn die SRG bleibe weiterhin auf der politischen Agenda, meint die NZZ weiter.
Wie die NZZ anerkennt der Tages Anzeiger den Entscheid der Stimmberechtigten, die No-Billag Initiative abzulehnen. Sie mahnt, dass die von den politischen Akteuren getätigten Versprechungen und Zugeständnisse, wie die Senkung der Gebühr, in Zukunft umgesetzt werden und hofft darauf, dass die SRG-Spitze die geplanten Reformen umsetzen.
Die Wochenzeitung sieht im deutlichen Nein ein Signal für die Stärkung des Service public und eine Niederlage für alle Kritiker gegen den öffentlichen Rundfunk. Sie sieht darin keinen substanziellen Kritikpunkt an die SRG sondern interpretiert das Resultat als Auftrag, die SRG bestenfalls zu verändern. Weiter steht für die WOZ fest, dass das Resultat den Willen des Souveräns zur Solidarität zeige.
Die Aargauer Zeitung deutet das Resultat der Abstimmung als ein rationaler Entscheid des Bürgers, der den grossen Medienplayer keine « auswischen » wollte, sondern das Begehren der Initiative als zu radikal erkannte und sie aus diesem Grund ablehnte. Die AZ zieht weiter Parallelen zu den Banken, bescheinigt der SRG das Prädikat « to big to fail » und wundert sich über das neue Verständnis der kulturellen Akteure des Fernsehens: « Die «Tagesschau», die verlässlich und unaufgeregt die wichtigsten Ereignisse des Tages für ein älteres TV-Publikum zusammenfasst, wurde plötzlich zum Heiligen Gral der Aufklärung erhoben. »
Die Basler Zeitung kommentiert die Abstimmung aus der Sicht der « Verlierer ». Sie deutet das Begehren als eine « echte » liberale Volksinitiative, die dem Souverän zum ersten Mal die Wahl über ihren bevorzugten Medienkonsum liess. Und, obschon das Resultat klar sei, seien wichtige Fragen zur Definition des Service public und der Finanzierung der audiovisuellen Medien nicht beantwortet. Die BAZ moniert, dass die klare Abstimmung kein Abbruch am medienpolitischen Diskurs täte und verweist weiter auf die medienpolitischen Vorstösse, die im Parlament noch hängig sind oder von bürgerlichen Politiker künftig eingereicht werden.
Für die Nachlese der Medienerzeugnisse in der francophonen Schweiz, klicken Sie hier
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Le débat sur le service public audiovisuel n’est cependant pas clos. Si Gilles Marchand a salué un « signal fort pour le service public », le directeur de la SSR a également annoncé un plan d’économies de 100 millions de francs qui sera mis en oeuvre dès 2019. La SSR pourra néanmoins se réformer dans de meilleures conditions: avec le soutien de son public.
« L’initiative No Billag est rejetée par 71,6% des votants et tous les cantons », RTS Info
« Rejet de No Billag: une confiance qui oblige », Le Temps
« No Billag balayée par 71,6% des Suisses », Tribune de Genève
« Après le non à l’initiative, la SSR annonce des économies et des réformes », La Côte
]]>Du côté de Cinéforom, l’ex-producteur Gérard Ruey, actuellement secrétaire général de la fondation, ne raisonne pas autrement. «Un tiers du subventionnement des films provient de la télévision. Et c’est un coût par essence difficilement rattrapable. En cas de oui à «No Billag», c’est ce tiers qui passerait à la trappe. Qui pourrait compenser cette perte? Je ne vois pas. Personne, je pense. Donc si l’initiative passait, ce serait une catastrophe totale. Car si un volume de production s’effondre, c’est toute la production qui s’effondre en même temps, par un effet domino qui conduit vite à la précarité.»
Sur la question de la relation entre No Billag et le cinéma suisse, voir aussi:
Quelques exemples d’articles que l’on peut y trouver:
« Redevance radio-TV: les chiffres qui comptent », 9 février 2018.
« La Fédération suisse des sourds s’inquiète de voir disparaître les sous-titres avec la redevance », 31 janvier 2018.
« Quiz: Connaissez-vous bien No Billag? Un test à faire avant d’aller voter, le 4 mars », s.d.
« «No Billag»: les artistes entrent en guerre », 19 janvier 2018.
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« Au début des années 60, feu la Télévision suisse romande (TSR) a véritablement accompagné les premiers pas du célèbre cinéma romand des Tanner, Soutter ou Goretta. D’une part en leur permettant de travailler pour la télévision, réalisant reportages, téléfilms ou dramatiques, d’autre part en cofinançant les premiers pas du Groupe 5, en 1968, et les films que ces cinéastes réaliseront ensuite. »
Si la relation entre les deux médias a été, dès les années 1960, active et prolifique en Suisse romande, le monde du cinéma alémanique n’a, quant à lui, pas toujours été très amical avec sa télévision. Un rejet ancien qui pourrait, dans le cadre de la votation sur No Billag, « entraîner la fin de ce partenaire essentiel de notre culture audiovisuelle ».
« Télé, je t’aime, moi non plus », 24heures
« Frédéric Maire, le cinéma sur tous les fronts », 24heures (article réservé aux abonnés)
Portrait de Frédéric Maire, RTS
Les chroniques de Frédéric Maire
Présentation du coffret DVD consacré au Groupe 5
]]>Extrait:
« Nous sommes prêts à discuter du périmètre du service public. Évidemment, il y a des domaines de programmes qui sont au cœur du service public : l’information, la culture, le sport d’une certaine manière aussi. Il y a certains sports ou certaines séries TV qui peuvent être plus à la périphérie du service public. On peut en débattre. Maintenant, le fait est que derrière ces domaines de programmes, il y a du public. Aujourd’hui, le public a accès à ces offres moyennant la redevance, qui va coûter l’année prochaine 1 franc suisse par ménage et par jour.
Si demain, le public, pour avoir accès à ces offres doit payer beaucoup plus cher, je pense qu’on ne rend pas service au public. Je ne dis pas que les médias privés ne peuvent pas diffuser eux-mêmes ce genre de programmes. Ce que je constate, c’est que le meilleur service qu’on peut rendre au public, c’est de l’offrir dans un « bouquet » global, ce qui correspond aujourd’hui au service public. »
« Votation sur la redevance: le grand perdant, c’est le peuple suisse », Inaglobal
« Audiovisuel public, comprendre les enjeux de la votation suisse », Inaglobal
]]>Lundi, mardi et mercredi, les auditeurs ont pu écouter un long entretien avec Michael Palmer, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication à l’Université Paris III, autour de son ouvrage « Homo Informans: L’urgence des news au fil des millénaires suivi de Lexique subjectif de l’homme informant ». Jeudi et vendredi, l’émission d’histoire proposait une rencontre avec Frédéric Gonseth, journaliste, réalisateur et producteur indépendant, pour un état des lieux de l’information, des médias et du métier de journaliste en Suisse, sujets de son dernier film documentaire « Le printemps du journalisme ».
Toutes les émissions, le documentaire de Frédéric Gonseth et l’article de La Liberté peuvent être réécoutées, vu et lu ici.
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