La professeure Marie-Élodie Perga, biochimiste, investit les lieux avec ses étudiantes et étudiants de la Faculté des géosciences et de l’environnement.
Ce laboratoire flottant permet de récolter et d’analyser les données lacustres sur le lieu même, nuit et jour et par tous les temps. La plateforme peut effectuer des mesures toutes les 30 secondes à différentes profondeurs, via des capteurs automatisés. Elle est aussi dotée de grosses machines qui descendent jusqu’à 100 mètres de fond.
Une nouvelle façon de faire de la limnologie, qui devrait attirer jusqu’en 2026 des scientifiques du monde entier.