Portrait du futur directeur de la SSR

En novembre dernier, L’Hebdo publiait le portrait de Gilles Marchand qui accèdera à la tête de la SSR en automne 2017.

Extrait:

2001, TSR: Gilles Marchand succède à Guillaume Chenevière à la tête de la Télévision suisse romande. © Thierry Parel / RTS

« L’an prochain, le 1er octobre, Gilles Marchand gagnera un peu d’altitude et surtout du pouvoir. Le conseil d’administration de la SSR vient de le nommer à la succession de Roger de Weck. Si l’assemblée des délégués confirme ce choix le 25 novembre, en principe une formalité, il quittera donc Genève pour Berne et le dixième étage de la Giacomettistrasse 1. Avec un gros défi à la clé: réussir la «bascule numérique» d’une entreprise qui doit se reconnecter avec les «milléniaux», ces jeunes qui ne s’informent plus sur les médias généralistes. »

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Les télévisions locales tremblent face à No Billag

Le Temps publiait le 23 novembre 2016 un long article intitulé « Nourries d’argent public, les télévisions locales tremblent face à No Billag ». Le journaliste Xavier Lambiel soulevait les inquiétudes des télévisions privées romandes face à cette initiative qui vise à supprimer toute sorte de redevance. Or, les chaînes locales sont très dépendantes du coup de pouce financier public.

Extraits:


« Encore en crise il y a deux ans, les quatre chaînes privées romandes soufflent grâce à une au
gmentation de leur part de la redevance. Mais l’initiative No Billag menace l’existence de ces «petites RTS» (…)

 

Largement dépendantes de la redevance, les chaînes régionales romandes ont trouvé leur public en faisant à la fois dans le très local, et dans «le journalisme constructif». Pour Marcello Del Zio, le directeur de Canal Alpha, «on ne peut pas survivre à Neuchâtel
et 
dans le Jura en polémiquant tout le temps». Sanctionnée par les téléspectateurs lorsqu’elle a choisi de devenir généraliste, Léman Bleu gagne de l’audience et de la publicité depuis qu’elle se concentre sur l’information et la proximité. Pour son directeur Laurent Keller, «toutes les chaînes régionales ont eu leurs coups durs» et «nous comptons chaque sou». »

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Tu regardes la TV? Non, mon smartphone!

Ainsi s’intitule l’entretien avec le sociologue Jean-Paul Schwindt qu’a diffusé Médialogues le 26.11.16. Il a été question de son récent ouvrage, Le smartphone: un objet qui peut en cacher un autre, paru en novembre 2016 aux éditions Inédit.

Avant de devenir, au printemps 2016, le directeur des éditions Inédit, Jean-Paul Schwindt était à la tête de la vente et du marketing pour Tamedia Publications romandes. Il a également travaillé plusieurs années pour le groupe Edipresse.

 

« Le smartphone devient le premier écran devant la télévision. Et le temps passé devant son smartphone est maintenant plus important que celui passé devant l’écran télé. Comment cette modification de consommation change-t-elle notre regard sur le monde? »

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